GALERIE D'ART

Deux galeires da'rt totalisant plus de 500 m2 d'exposition, plus de 50 artistes et 300 oeuvres d'art (sculptures, peintures, photographies). L'espace KREOL WEST INDIES de Marie-Galante est à Grand-Bourg et celui de Guadeloupe à Sint-François. L'une des plus grandes galerie d'art de la Caraïbe...

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Sous-catégories

  • Divers artistes
    Artistes contemporains, toiles anciennes, cartes anciennes et autres...
  • Jean-Marc HUNT
    Artiste guadeloupéen Né en 1975 à Strasbourg (France), Jean-Marc Hunt grandit en banlieue, faisant ses marques dans le graffiti et la musique rap. En 2003, il s'installe en Guadeloupe, d'où il est originaire, pour aborder une création au style néo-expressionniste. Son travail révèle un art turbulent, dans une monstration souvent ironique. Travaillant autant le dessin et la peinture que la sculpture et l'installation, il procède par série, accumulation et détournement comme des composants indissociables. Invité à des expositions collectives en Europe, en Caraïbe et aux Etats-Unis, il réalise également des résidences d'art qui lui permettront d'aborder la création monumentale en sculpture et peinture. Ses penchants pour l'expérimentation l'amènent à concevoir des événements fédérateurs en arts visuels depuis 2005, en tant que scénographe et commissaire d'exposition.
  • Maîtres Haïtiens
  • François PIQUET
    Artiste guadeloupéen, Né en région parisienne, il obtient un diplôme d'ingenieur et un DESS en Design Industriel, avant de s'orienter vers le chant et la création musicale, qu'il mène de front avec une carrière dans le graphisme et le multimédia. Arrivé en Guadeloupe en 2000, il s'oriente professionnellement vers la vidéo et développe en parallèle sa production plastique, pour une première exposition de peintures en 2005. Il créée ensuite Collactif, un collectif d'interventions artistiques urbaines, qui participe en 2007 à la "Réappropriation de Darboussier" (une ancienne usine de sucre), manifestation pendant laquelle il tresse sa première sculpture, monumentale, avec des lames de fer utilisées autrefois pour le cerclage des tonneaux de rhum. C'est une révélation. Ses premières sculptures sont acquises en 2008 par le département et la région Guadeloupe (Musée de la canne, Memorial Act). En 2009, il fait partie des membres fondateurs d'Awtis 4 chimen, association de plasticiens qui occupe le Musée L'Herminier, à Pointe-à-Pitre, et co-produit le 1er Salon d'Art contemporain de la Guadeloupe, en 2010. Il présente ensuite sa première exposition personnelle, " LE FER & LA PEAU ", en Guadeloupe et en Martinique, et installe des sculptures dans les rues de Marseille au cours d'une résidence de création en 2011. Il continue son exploration de la création contemporaine et caribéenne en 2012, à Puerto-Rico, République Dominicaine et Sint-Marteen. En 2013, il axe sa production sur les espaces publics, par des interventions urbaines temporaires et des oeuvres publiques pérennes en Guadeloupe, Martinique et France, avec toujours cette volonté de recherche et d'expérimentation de la Caraïbe, doublée d'une implication sociale forte.
  • Felie-Line Lucol
    Depuis très jeune Félie Line LUCOL présente des dispositions pour le dessin et la création et ce n’est que plus tard qu’elle développera de façon autodidacte ses qualités. Depuis son retour en Guadeloupe en 2002, elle s’est engagée pour la sauvegarde de l'environnement et a mis à profit son expérience pour contribuer à la gestion du déchet trop présent dans nos cités. Elle récupère, traite, et transforme le déchet en objet de décoration, accessoire, sculpture ou installation. En 2004, elle entraine la population de Morne à l'Eau à installer 350 000 bouchons en plastique sur la place Gerty Archimède dans le cadre du Téléthon. En 2007 et 2008, elle réalise des trophées pour la remise des prix de la Fédération du Carnaval de Guadeloupe puis ceux de la C.C.I. et de la Chambre de l'artisanat (150 pièces uniques sur pied de 170 et 50 cm réalisées en matières récupérées). Elle transmet son expérience auprès de jeunes publics et animateurs. Réalisation de portraits, illustrations et fresques murales dont celle du clocher du Gosier.
  • Catherine PUGLIESI-CONTI
    Après avoir suivi à Paris une formation d’art classique, puis de techniques anciennes, ainsi qu’une année d’Ecole du Louvre, Catherine PUGLIESI-CONTI , s’est installée successivement à Toulon puis en Guadeloupe depuis 1988. Peintre à l’huile, spécialisée dans les techniques du 16ème au 18ème siècle, elle s’impose comme une artiste traditionnelle, prenant ainsi le contre-pied des artistes qui ne dessinent plus. Pour Catherine PUGLIESI-CONTI, la technique est plus qu’un simple outil, elle est indissociable de l’œuvre, tout comme le dessin qui reste une étape préalable à toutes ses créations. Cette artiste s’est forgée un style très personnel, fait de contrastes autant dans le clair-obscur que dans la composition, avec une attirance pour les ocres et les terres brûlées. Son espace pictural trouve ses racines tant dans l’imaginaire que dans la réalité. Ses œuvres s’affranchissent des contraintes temporelles, et sont le reflet de sa personnalité éprise de liberté, réfutant toute appartenance à un courant ou à un groupe. Principales expositions collectives et personnelles : - 2016 : Exposition collective Kalyart à la BDAF de Pointe à Pitre - 2014 : Exposition à Fort Fleur d’Epée - 2011 : Exposition collective à la médiathèque du Lamentin - 2008 : Exposition Galerie Imagin’Art à Sainte Rose - 2006 : Exposition à Dijon (21) - 2005 : Exposition Galerie Regard à Vence (06) - 2005 : Exposition Galerie Mosaïque à Briançon (05) - 2001 : Exposition à Nice (06) - 1999 : Exposition à Marseille (13) - 1994 : Exposition Galerie 42 à Mougins (06) - 1989 : Exposition Internationale à Saint Raphaël (83) – Médaille d’Or - 1987 : Exposition collective à Aix en Provence (13) – Médaille d’Or TECHNIQUES : Catherine PUGLIESI-CONTI, fabrique ses couleurs à partir de pigments naturels (ex : la couleur terre de sienne sera mélangé avec de l'huile ou avec de la colle pour une réalisation acrylique), prépare ses supports (toiles, bois ou tôles) et travaille en sous-couche mixte et tempera grasse avant de poursuivre par des glacis à l’huile, et obtient ainsi une richesse de matière qui alterne le mat et le brillant (acrylique, huile ou tempera). La tempera est une technique (antérieure au XVème siècle) qui utilise l'oeuf comme liant
  • KITSIMI

    Créatif dès son plus jeune âge, Kitsimi s’oriente naturellement vers des études universitaires en arts plastiques, et obtient un Master. Les années qui suivirent furent principalement axées sur les voyages, les découvertes et les grands changements de vie. La sculpture est apparue comme le seul moyen de faire face suite à un événement de vie majeur. À la fois triste et émotionnellement dévastateur, la perte subie lui a également donné un nouveau souffle dans sa vie. L’entrée dans l’âge adulte lui fait prendre ses distances avec les pratiques artistiques. Perdre une des personnes les plus importantes de sa vie l'a fait se réconcilier avec l'art et lui a même permis de connaître une sorte de renaissance. Désormais, les projets de sculpture et d'art font partie intégrante de son quotidien. Avec un diplôme universitaire en arts plastiques et une attraction personnelle pour les arts urbains, l'art de Kitsimi est à la croisée de ces deux univers. L'art de Kitsimi est une réflexion sur sa vie personnelle telle que le deuil, l’âge adulte, les choix de vie, le désenchantement, les problèmes émotionnels et mentaux tels que le trouble anxieux et la dépression. L'art de Kitsimi est également une observation de notre société contemporaine à la fois fascinante et confuse.

  • Emi GUTIEREZ

    Emi Gutierrez. Artiste Plasticienne contemporaine. Elle vit et travaille en Guyane Française. Elle réalise des peintures, sculptures et fresques murales. Actuellement elle développe le projet artistique  « Zoogrid » afin d’associer l’art plastique et la réalité augmentée. Diplômée de l’école de Beaux-Arts (Argentine) et Master en Pratiques Artistes et action sociale (Bordeaux- France).  Elle a obtenu plusieurs prix et elle a réalisé plusieurs expositions en France et à l’international.

    Le travail artistique d’ Emi Gutierrez est imprégné de son parcours international et sa passion pour l’expression au travers de la forme et la matière. 

     Pour l’artiste  il est essentiel de s’enrichir et de progresser dans son travail personnel, de pouvoir développer de nouvelles techniques. Sa motivation et sa persévérance lui ont permis de se construire comme artiste à part entière, permettant de comprendre chaque changement/processus comme un moment d’apprentissage et dépassement de soi.

    Enfant de son temps, son oeuvre est inspirée de plusieurs  courants et mouvements contemporains, comme le Pop Art, la géométrie Abstraite, le Toy Art ainsi que la modélisation 3D, l’image digitale et la réalité augmentée. Ce sont ces influences éclectiques, qui lui permettent de construire des compositions inédites. Cette démarche est consciente et réfléchie, chaque œuvre amène une histoire, une lecture, un parcours de recherche et une envie de pouvoir créer des liens et communiquer avec le spectateur. Dans ses compositions elle privilégie la forme, la ligne et les couleurs.

  • Yagor YAHAUT

    Né en 1981 dans la “ville de l’art” ivoirienne, Grand Bassam, Yagor, de son vrai nom Yao Romaric Igor est un artiste contemporain de la scène abidjanaise dont le style se situe au carrefour de plusieurs influences... La figuration libre, l’abstrait, l’art brut et l’art singulier.

    Ses supports de prédilection le papier et la toile et pour technique l’acrylique. Yagor est également street performer.

    « Mon écriture plastique est une fenêtre ouverte sur mon univers d’artiste. En 2012 je suis frappé par un terrible accident de circulation. Cet événement suscite un bouleversement qui me conduit à un important travail psychologique sur ma personne, mon entourage et la perception de ma destinée. Dès lors nait en moi un perpétuel questionnement auquel toutes tentatives de réponse créent en moi l’effet de surprise et l’étonnement. Cet effet de surprise influence également mon art et m’amène à un changement radical de mon style de travail dans mes dessins et peintures. Mon concept de création plastique inspirée des tableaux de classe est le tableau mal effacé. Aujourd’hui je peins l’étonnement ou le « pkiti pkli » à travers mon concept. »

    Le concept en lui-même renferme l’idée selon laquelle aucun acte n’est perdu, tout se que l’on pose comme action nous rattrape, juste le temps est le régulateur. En effaçant le tableau à un moment donnée de notre vie, on croit laisser derrière nous le passé, mais en fait le tableau n’est jamais assez bien effacé pour faire de nous un homme neuf. En effet chaque tableau est le reflet de la vie de X ou de Y qui sont représentés par les êtres mathématiques à un moment donnée, précis. C’est en clair une interprétation du vécu quotidien que l’artiste cristallise.

    Yagor est diplômé de l'INSAAC d'Abidjan et actuellement Professeur d'Arts Plastiques...

  • BENITO

    Benito Valadié naît en région parisienne. Son enfance est très tôt marquée par l'installation de sa famille en Nouvelle Calédonie, dans le Pacifique Sud, où les blessures de l'histoire sont palpables. Cette confrontation occupera, des années plus tard, une place fondamentale dans sa démarche artistique.

    De retour en France à l'âge de dix ans, l'adaptation est difficile. Le dessin devient son mode d'expression privilégié, une échappatoire. Mais l'environnement familial le porte naturellement vers l'étude de l'histoire  et des sciences politiques. Son grand-père maternel, espagnol républicain a fuit le franquisme. Benito Valadié est imprégné de cette histoire et de son idéal. Il se destine à l'enseignement mais sans cesser de peindre.

    En 1996 ses études le mènent à Cuba où il séjourne trois mois. Après la Nouvelle Calédonie, ce pays constitue un nouveau tournant dans sa vie. Cuba devient sa patrie de cœur. Il multiplie dès lors les voyages entre la France et La Havane.  Première exposition dans la galerie Natalia Ramirez à La Havane en 1998. Il découvre la peinture cubaine contemporaine et s'initie au réel merveilleux cher à Alejo Carpentier etdont sont imprégnés les artistes caribéens. En 2004 il s'installe en Guadeloupe où il commence à exposer régulièrement.

    En 2010 Benito Valadié est repéré  par un  galeriste ( Lambert  Fine Art)  alors qu'il participe  à une foire d'art contemporain à New York. Depuis, il vit et travaille entre la Guadeloupe, Cuba et New York où il expose régulièrement. Les œuvres de Benito Valadié sont présentes dans des collections privées à New York, Paris, Toulouse, Montréal, Barcelone, Dresde ainsi qu'en Guadeloupe et Martinique .  En 2014 Le Leslie and Lohman Museum de New York  City a acquis deux de ses toiles .

    En 2015 il retourne à Cuba ou il passe sept mois en résidence d'artiste. Le quotidien aux côtés des cubains et les conditions de vie matérielles difficiles, l'échange avec des artistes locaux , la mutation du pays nourrissent son inspiration et contribuent à l'amorce d'un virage dans sa pratique artistique.

    L'univers artistique de Benito demeure résolument urbain, son champ d'expérimentation artistique est l'homme, animal urbain , champ de tous les possibles. Il propose à travers  ses peintures une réflexion sur les stéréotypes identitaires et les codes culturels et politiques qu'il se plait à transgresser afin d'interroger son public.  Très influencé par le Pop art et  le Comics Art, le dessin occupe une place importante dans ses toiles et sa palette, toujours très colorée, crée  un hiatus riche de sens entre le fond et la forme.

  • Steeve VERIN

    Né en 1991 à Pointe-à-Pitre, Steeve VERIN est diplômé de Ecole Nationale Supérieure d'Art de Limoges.

    L’artiste a une prédilection pour les portraits qui ont tous la particularité d’être colorés et floutés. Cette imagerie véhicule une esthétique forte tissant un lien entre la présence et l’absence. La question du lien entre la vie et la mort n’est que suggérée. Ces images sont le résultat de souvenirs enfouis, cachés ; une sorte de réminiscence. Ses oeuvres évoquent le « déjà-vu », ce sentiment d’avoir déjà vécu une situation présente, accompagnée d'une sensation d'irréalité, d'étrangeté, d’avoir eu l’impression d’avoir vécu un moment passé alors que nous étions bien ancrés dans le présent.

    Il tente de révéler notre humanité, de mettre en avant l’essence de ce qui nous constitue, et pour lui cela passe par l’acceptation de ce qui est, et par la déconstruction du beau.

  • Aya N'DA

    La peinture d’Aya N’da est abstraite et s’articule autour du textile africain.

    Sa démarche consiste à revisiter les tissus africains traditionnels et contemporains proclamant ainsi son appartenance ethnique. Elle les convoquent dans ses abstractions à travers les teintes, graphismes et symboles subsahariens chers à son coeur d’ivoirienne. 

    Par ailleurs, elle se positionne de plus en plus clairement sur les sujets socio-philosophiques qui l’interpellent affirmant progressivement son statut d’artiste dit « engagé ».

    Elle s’exprime tant à l’huile qu’à l’acrylique

  • LEAN

    Né en 2004 à Marigot LEAN de son vrai nom Vadim LALOUELLE-ROBERT dessine depuis son plus jeune âge. Ses influences viennent du dessin animés, des jeux vidéo et de la culture street art. Son travail révèle un art acidulé,dans une démarche esthétique "toy design" souvent ironique. Il procède souvent par série, par exemple avec son personnage autoportrait, figure récurrente. Ses influence artistique sont à ce jourpresque inexistantes, son jeune âge lui confère une "virginité culturelle" qui permet une création sans influence conférant à son travail une identité fraîche et novatrice.

  • Wall Street

    Wall Street est un graffeur américain de la Nouvelle Angleterre qui a cherché la reconnaissance en apposant ses tags partout où il le pouvait. Des problèmes personnels ainsi que de nombreux déboires avec la justice l'ont amené à asseoir son street art et à le projeter sur toile afin d'exprimer et de partager son inspiration et les messages qui l'ont aidé à refaire sa vie. Orientant sa philosophie de vie vers une nouvelle voie plus positive, il garde en mémoire et retranscrit dans ses œuvres la violence de la rue, mêlée à des messages plus sereins.

    Il a pris pour nom Wall Street en référence à sa nouvelle vision du monde, son nouveau chemin, tirant ses influences de la mondialisation, des médias, entre néo-expressionisme et le graffiti abstrait. Les mediums utilisés dont l'acrylique, le spray et l'huile sur toile.

  • Aurelie MEYNIER

    Dans mes sculptures,les vides parlent,bousculent,prennent de la place au milieu des pleins. Mes sculptures sont l'aboutissement d'une passion pour le métal, pour la création en général. Je suis à l'écoute des perceptions. Mes doigts tâtonnent, expérimentent, se trompent, essaient,recommence jusqu'à ce que je ressente une satisfaction dans la forme obtenue, dans l'émotion ressentie. Je laisse le champ libre à ma sensibilité, à mon intuition, à mes émotions intérieures qui me guident dans une recherche constante de l'équilibre, l'authenticité, dans l'obsession d'ôter au métal cette dureté et cette froideur apparente qui le caractérise. Je mets en avant la souplesse de ce matériau. Les sculptures dansent, nagent, restent très souvent mobiles. 

    Sculpture en acier et autre métaux de récupération, vernis et peinture de carrossserie. Ces oeuvres peuvent être exposées en intérieur comme en extérieur.

  • Cosset

    Daniel Cosset, artiste peintre, est né en Lorraine, France, en 1952. 

    Après des études supérieures de commerce, il part travailler à l’étranger, et notamment en Afrique et aux Antilles. Il a étudié à l’Ecole des Beaux-Arts de Versailles et a travaillé dans différents ateliers à Paris.

    Dès l’âge de 20 ans, de nombreux voyages à travers le monde lui permettent de s’imprégner de la poésie des couleurs que l’on retrouve dans ses paysages ou ses portraits. Dans les années 1980, il commence à dessiner au crayon, fusain et pastel puis il passe à la peinture à l’huile qu’il travaille à la spatule depuis 1990.

     

    Daniel Cosset  partage aujourd’hui son temps entre son atelier de Paris, France,

    et celui de Saint François en Guadeloupe où il réside la plupart du temps.

    Il est membre de la Maison des Artistes de Paris.

  • ANQE2N

    Le graffiti (de l’Italien grafio =  égratigner et antérieurement du Grec graphein = dessiner) est une déclinaison de la culture hip hop née dans la rue dans les années 1970,  à travers des tags et des peintures sur les murs des trains comme une rébellion contre le système Américain. Cela c’est rependu très rapidement autour du monde et devient une forme d’art, exposée dans les galeries et les musées.

    Dès mon enfance, j’ai commencé à innover avec l’écriture graffiti, J’étais captivée par la connexion and la distorsion des lettres, nombres et les symboles.

    Après des années de travail, de recherche, de passion et d’action, j’ai imaginé le concept - MATHEMATRIX +, une connexion de deux mondes que j’aime, le monde des lettres et celui des nombres.

    Dans mon approche artistique, je n’ai pas eu l’intention d’utiliser déjà des schémas existants ou des techniques comme les lettres en 3D, le style sauvage, les bulles mais j’ai créé mon alphabet personnel « Mathematrix » qui reflète ma passion de l’écriture, de la calligraphie, des symboles mathématiques et des nombres.

    Le travail « INTROSPECTION est une voie d’interaction indirect avec le public, envoyer différents état ou sentiments à travers les couleurs, les formes ou autocollants avec des tags, tel qu’un graffiti dans la rue.

    * « Introspection » peut être transformé en table avec une plaque de verre.

  • Guillermo...
  • Souleymane KONATE
  • PUPO

    PUPO est un peintre autodidacte qui s’intéresse à l’art depuis qu’un touriste de passage   lui a offert une boîte de crayons de couleurs. Il n’avait que 8 ans et tout un univers qu’il ne soupçonnait pas s’est ouvert à lui.

     

    Il quitte l’école à 16 ans car, issu d’un milieu modeste, il pense surtout à gagner sa vie. Il travaille alors dans les champs de cannes et les plantations de tabac. Puis il devient vendeur à la sauvette, cuistot, peintre en bâtiment et enfin bicitaxi de nuit. La Havane et ses mystères n’ont plus de secrets pour lui. Cette dernière activité lui permet de se remettre à la peinture qu’il avait délaissée depuis son enfance. Il travaille la nuit sur son bicitaxi et peint le jour dans son petit atelier de la Habana Vieja.

     

    Il se consacre à la peinture comme pour exorciser un quotidien de plus en plus difficile.

    En effet la crise économique et la pénurie semblent s’installer durablement à Cuba. Il est de plus en plus difficile et couteux de se procurer peinture, toiles et pinceaux.

     

    Le dessin constitue un point de départ dans son travail. Une fois l’univers défini, il s’affranchit alors du réalisme et travaille la couleur et les motifs indépendamment de la signification première du dessin. Le résultat est un univers onirique et chatoyant, extravagant et poétique, toujours très coloré. La couleur et les contrastes sont pour lui une marque de fabrique.

     

    En 2015 il rencontre l’artiste guadeloupéen BENITO, alors en résidence d’artiste à La Havane. Ils se lient d’amitiés et décident de travailler ensemble.

     

    En 2016 invité par BENITO, PUPO s’installe en Guadeloupe où il vit et travaille depuis lors. Il expose ses toiles à la galerie Kreol West Indies à Saint François

     

    En 2019 il propose sa première exposition personnelle en Guadeloupe à l’Hôtel Arawak Beach Resort au Gosier. Ses toiles sont présentes dans des collections privées en Guadeloupe, à Cuba, en France, en Espagne, en Italie et en Allemagne.